dimanche 2 décembre 2012

Nationalistes européens: la haine anti-Hitler

Lors de recherches sur internet, je découvre un blog anti-sioniste assez particulier qui se nomme " Le Gentil/L'observateur du péril innommable" , au départ, tout porte a croire qu'il s'agit d'un blog anti sioniste lambda, mais en cherchant bien, nous y trouvons des articles d'analyses très pertinentes et fortement courageuses.
En effet, il évoque un sujet dont nus parlons presque jamais, un sujet presque tabou, c'est cet acharnement "anti-Hitler" de la part de certains nationalistes et autres anti-sionistes.

Tout comme l'animateur de ce blog, je n'ai moi-même jamais compris l'attitude qui pousse un Alain Soral ou autres personnalités, pourtant qui ne manquent pas de qualités, a critiquer Adolf Hitler, un des hommes les plus diabolisés de l'histoire moderne, pour avoir osé se battre pour relever son pays et extirper la mafia des financiers vampires qui affaiblissaient l'Allemagne, et l'Europe.

C'est faire preuve d'aveuglement, ou pire encore, d'une extrême couardise, de vouloir se dédouaner en critiquant Adolf Hitler, disant e lui qu'il est un médiocre, un fanatique, un sanguinaire, etc..etc...

Nous pouvons ne pas partager les idéaux d'Hitler quand on est antisioniste, personne n'y est obligé, mais de là a insulter sa mémoire pour justifier son anti-sionisme, c'est malhonnête, très malhonnête.

Je vous laisse découvrir ce blog, beaucoup de vérités y sont dites.

http://pascasher.the-savoisien.com/

6 commentaires:

  1. Le problème d'Alain Soral, c'est cette espèce de culte de la personnalité stalinien, voire Hitlérien... Fanatiser les foules autour d'un Homme est une erreur, on le sait très bien, quand cet Homme disparaît, il ne reste rien, et ses adeptes seront paumés et récupérés par le tout et son contraire... Malgré que Adolf Hitler ait rendu le peuple Allemand heureux et épanoui, une fois le chef éliminé, tous ce qu'il avait bâtit s'est effondré comme un château de cartes. Pour moi, c'est l’extrême droite du système post 1789: Populisme exacerbé, anti royauté... Je sais bien qu'il n'y ait plus que ça comme arme aujourd’hui, mais quand même... Chez soral, c'est pathologique. D'ailleurs, on le remarque dans les commentaires sur ER, certains soraliens lui vouent un culte (parfois, j'ai l'impression que je suis sur un site sectaire, une secte dont soral serait le gourou.)

    C’est d’autant plus une erreur qu’il a un bon entourage, qui lui cultive cet esprit Royal et Traditionaliste, avec pédagogie certes, mais eux restent sur cette ligne (comme LLP ou Livernette)

    Donc, le problème, c’est davantage qu’il n’a pas le radicalisme d’un Hitler sur le Judaïsme, mais par contre qu’il cultive ce populisme anti traditionnel, digne du pouvoir du IIIeme Reich.

    Malgré le respect que je peux avoir pour Adolf Hitler, son obsession anti-monarchiste l’a mené à sa perte… Il aurait dû céder le pouvoir à un parti Royal, appuyé par un centre de cristallisation spirituelle… Une base solide bien plus difficile à annihiler que de simples fascismes.

    900 ans de pouvoir Catholique et royal ! Voilà la vraie solution pour lutter efficacement contre la subversion juive mondialiste et satanique !

    Autre chose : il est étonnant de voir que la seule « persécution judiciaire » que « subit » Alain Soral est une plaine d’un cadre du Front National ! Ce type dit tous ce qu’il ne faut pas dire dans ses « vidéos du mois », et pourtant, quid de plaintes de la part des officines du système tels que la LICRA ou le CRIF. Je trouve cela très suspect…

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'avoue ne pas comprendre l'espoir que certains nourrissent envers le royalisme à notre époque. Parce que le problème est le même qu'avec tout autre type de système qui n'est pas complètement anarchiste. Qu'on ait un leader unique, une élite (élue ou pas) ou un roi, s'il la tête de l'état ne possède pas une pureté d'intentions la situation des peuples ne sera pas plus enviable qu'elle ne l'est actuellement.
      Or, je doute qu'une quelconque "génétique royale" puisse nous prémunir contre la corruption.
      Soyons réalistes, une élite éclairée et bienveillante, on ne ressort pas ça d'un vieux coffre : on la déniche, on l'examine, on regarde ce qu'elle a dans le ventre et dans le coeur...puis on la tient sous la loupe (comme du temps du tirage au sort à Athènes, cf. Étienne Chouard).
      Car l'enjeu est trop important pour supposer que le temps n'aura pas fait son oeuvre en pourrissant une grandeure morale et spirituelle qui a déjà pu exister au sein de la monarchie catholique.
      Et puis dire que durant les 900 ans de pouvoir catholique et royal les choses allaient mieux qu'aujourd'hui est un argument superficiel. Les époques ne sont pas comparables entre elles, trop de choses ont changé dans la société et dans les mentalités depuis, et on ne peut pas revenir en arrière tout bêtement.
      Ensuite on peut discuter de l'efficacité qu'ont ces systèmes à assurer le bien commun, à assurer une stabilité et un mode de vie durable, etc. Peut-être que sur des points de ce genre la monarchie apparaitrait comme avantageuse.
      Mais il faudrait aussi comparer la faisabilité d'un tel retournement (i.e. "l'instaurabilité" d'un tel type de régime politique)...et là je crois que ce sera encore moins faisable que si on voulait ramener, par exemple, le communisme ou le national-socialisme. Les masses en voudraient encore moins (c'est ma prédiction personnelle, mais informez-vous auprès de gens qui ne partagent pas votre point de vue d'avance, et vous verrez bien).

      Supprimer
    2. (suite)
      Vous dites :
      "Il aurait dû céder le pouvoir à un parti Royal, appuyé par un centre de cristallisation spirituelle… Une base solide bien plus difficile à annihiler que de simples fascismes."

      Vu la férocité des attaques contre la population et les infra-structures allemandes, je vois mal comment un parti royaliste aurait pu suffir à changer le cours de l'histoire.

      Supprimer
    3. Il me semble que la population allemande est aujourd'hui sous une dictature étrangère , Hitler n'était pas haï par son peuple.

      Supprimer
  2. merci pour cet enrichissant commentaire, et au plaisir de vous relire.

    RépondreSupprimer
  3. "Les masses en voudraient encore moins (c'est ma prédiction personnelle, mais informez-vous auprès de gens qui ne partagent pas votre point de vue d'avance, et vous verrez bien."

    Le problème monsieur, c'est que le peuple ne sait pas ce qui est bon pour lui, sinon, les Français ne seraient pas devenus des zombies dépressifs sous tranquillisants. Si on suit le vôtre résonnement jusqu’au bout, le peuple choisi d’être une poubelle ?

    La vérité est que le peuple n’est qu’une conséquence de son élite. Le peuple n’est là que pour être épanoui, à sa place. Une tension élevée ne s’obtient qu’avec un pouvoir organique et articulé. Une hiérarchie respectée, basé sur des critères raciaux et transcendant.

    Votre résonnement est typique du monde moderne. Le pouvoir au peuple ? Et bien, le libéralisme, les bas instincts, l’individualisme, l’arrogance, la bêtise… Le peuple n’est qu’une finalité, il est en quelque sorte l’aboutissement d’une esthétique, formé par une élite de type supérieur.

    Quand je fustigeais le populisme, je me basais sur des critères Traditionnels, sur la source ! Ce n’est certainement pas des idées récentes de 200 ans, et instituer par des barbares maçons - qui aujourd’hui ne fond pas que de martyrisé les peuples européens – qui vont me donner des leçons. En parler avec des Français au tour de moi ? Si vous voulez mon avis sincère, la plupart d’entre eux ne devraient – à mon avis – pas être autorisé à voter.

    La démocratie est arrogante, foncièrement mauvaise, colonialiste, une machine à lobotomiser, massacrer et pilier les peuples.

    A mon tour, monsieur, je vous conseille d’étudier la logique inhérente a toute société saine :

    Le peuple ne se rend pas heureux comme par magie… Seul un Roi, celui qui appartient à sa TERRE, est apte au bien commun des siens.

    RépondreSupprimer