jeudi 29 août 2013

Martin Luther King, le singe de Satan

Depuis toujours, nous avons su que Martin Luther King était un pantin dépravé du Sionisme International comme l'est aujourd'hui Obama et tant d'autres congoïdes sans âme ni intelligence.
Si le fameux discours "I have a dream" a été aussi populaire et l'est toujours auprès de ces générations acquises à l'idéologie totalitaire de l'antiracisme c'est parce qu'il est l'un des discours les plus subversifs et les plus néfastes sortis de cerveaux talmudistes et lu par un singe.

Martin Luther King Jr est une abomination dans l'histoire de l'humanité, il est le Marx des masses chromatodermes , et son histoire est en réalité peu glorieuse contrairement a ce que veut nous faire avaler l'histoire officielle.

Je vous laisse lire ce qui en est dit sur le site ami Breiz Atao:

BREIZATAO – ISTOR (28/08/2013) Une des dernières icônes des communistes et autres socialistes est la figure de Martin Luther King. Pour le public blanc manipulé, c’est un humble pasteur noir assoiffé de justice. La réalité historique – largement documentée – a démontré depuis longtemps que derrière ce mythe de l’antiracisme se cache un dépravé au dernier degré, alcoolique, amateur de prostituées blanches – qu’il battait régulièrement – en plus d’être sous la tutelle de communistes juifs contrôlés par Moscou. C’est précisément en raison de ses vices innombrables que l’URSS s’appuya sur lui pour agiter les minorités raciales contre le gouvernement américain.
King et son plagiat universitaire
Michael King, de son véritable nom, n’obtint son doctorat à l’Université de Boston qu’en plagiant lourdement les travaux d’autres chercheurs. Le 10 octobre 1991, on pouvait lire en page 12 du New York Times qu’un comité de chercheurs de l’Université de Boston admettait « qu’il ne faisait aucun doute que le docteur King avait plagié sa dissertation mais qu’il ne rimait à rien désormais de le déchoir de son titre… »
Dans son Journal of American History (juin 1991), David J.Garrow, académicien de gauche et sympathisant de King, rapporte que Coretta Scott King ( sa défunte épouse) qui lui servait de secrétaire, « avait été complice de ses tricheries répétées». A ceux qui s’étonnent encore de l’apparente indulgence de ses professeurs, le chercheur Michael Hoffman répond non sans ironie : « King était politiquement correct, noir et ambitieux. C’était, pour les marxistes, une joie d’accorder un doctorat à un tel candidat et cela n’est pas plus choquant qu’il ait fallu quarante ans pour que soit divulguée cette piraterie intellectuelle ».
Le pasteur qui aimait les orgies… payées avec les quêtes de l’église !

A des années lumière des préceptes évangélistes qu’il aimait à prêcher, ses activités et fréquentations louches allaient écailler son aura et titiller la curiosité du FBI, dont l’un des chefs était alors un certain William C. Sullivan, qui se qualifiait lui-même de « libéral »et avouait « avoir une certaine sympathie pour King, qu’il voyait comme parfait leader des Noirs en quête de droits civiques ».
Il découvrit en effet que le charismatique prêcheur, si vénéré pour sa droiture, détournait sans vergogne de fortes sommes d’argent initialement destinées à la communauté noire pour laquelle il prétendait lutter, les utilisant de surcroît, à des fins peu honorables…
« Bien qu’ayant vu pendant 30 ans, dira Sullivan à l’époque, le côté peu reluisant de la vie, je peux dire que King est l’une des rares personnes complètement dégénérées que j’ai rencontrées. Pratiquant l’adultère d’une manière compulsive, il s’est aliéné l’affection de nombreuses femmes mariées et en a séduit d’autres de son entourage (qui l’ont avoué publiquement), faisant aussi conduire à son hôtel nombre de prostituées, souvent deux à la fois, pour des parties qui pouvaient durer plusieurs jours… Ce genre d’activités était la norme au cours de ses tournées… King passa d’ailleurs la dernière nuit précédant sa mort, en compagnie de deux prostituées blanches et d’une autre, battue et abusée, dans une chambres du motel Lorraine, à Memphis (Tennessee) ».
Un idiot utile de l’URSS et des intellectuels juifs marxistes
Dès les années 20, les intellectuels juifs, massivement engagés auprès du Parti Communiste des États-Unis ou encore du trotskysme, appuyèrent les revendications des minorités raciales. Pour être plus exact, ils les organisèrent littéralement. Le leader noir Marcus Garvey voulant s’engager dans les années vingt dans le combat pour l’émancipation des Noirs devait découvrir que la première organisation antiraciste, la NAACP, était “intégralement contrôlée par des juifs” et qu’il lui était “impossible d’y avoir quelque rôle, précisément parce que Noir”.
En fait, la NAACP avait été très tôt infiltrée par des activistes juifs dont certains avaient fait fortune dans la banque ou les affaires. À sa présidence, dès 1914, se trouve Joel Spingarn, un universitaire juif. Celui-ci organise alors un recrutement très agressif au sein du conseil d’administration en direction des juifs : on y trouve ainsi le banquier – et financier de la révolution bolchevique – Jacob Schiff.
C’est lui que Trotsky rencontra à New York en 1917 afin de récolter des fonds de la part de divers banquiers juifs internationaux (Aeschberg en Suède) afin qu’ils soutiennent le mouvement bolchevique, lui-même largement dominé par des activistes d’origine juive (Vladimir Blank dit “Lénine”, Leon Bronstein dit “Trotsky”, Lev Rosenfeld dit “Kamenev”, Aronovitch Apfelbaum dit “Grigory Zinoviev”, Jacob Solomon dit “Yakov Sverdlov”, Moïse Uritsky, etc.). Le but étant d’anéantir le pouvoir tsariste et de lui substituer un pouvoir internationaliste sous direction cosmopolite, ce qui fut le cas jusqu’à la victoire de Staline contre Trotsky et l’élimination progressive des juifs de tous les postes gouvernementaux, tâche achevée en 1948 par le maître du Kremlin (L’URSS et son “virage antisioniste”).
C’est donc avec une remarquable cohérence que se retrouvent au sein de la NAACP de nombreux juifs qui, bien que milliardaires, soutiennent leurs congénères marxistes de Russie et d’ailleurs puis, plus tard, coopéreront avec les Soviétiques pour faire de l’antiracisme une arme de subversion contre les USA.
On peut citer comme cadre de l’association le militant associatif communautaire Jacob Billikopf, le rabbin Stephen Wise, l’homme d’affaire Julius Rosenwald ou le rabbin Emil Hirsch.
Cette influence était si forte, qu’il fallut attendre 1975 pour que l’association élise son premier président noir !
Les conseillers juifs pro-communistes de Luther King
On comprend donc, dans ce climat intellectuel antiraciste largement pénétré par les idées marxistes et orchestré par le Parti Communiste “Américain” (il l’était très peu…), que Martin Luther King était entouré de conseillers proches du PCUS ou même membres encartés du parti. Des conseillers dont la coloration ethno-confessionnelle était d’une désespérante homogénéité.
C’était le cas de son secrétaire le plus proche, le juif Stanley Levinson. Levinson recevait des fonds d’URSS via un autre juif communiste, Isidore Needleman. Needleman était un agent du KGB qui travaillait pour l’AMTORG, une compagnie achetant des biens de production américains pour l’exportation vers la Russie soviétique. C’est ce qu’apprit le FBI lorsqu’il infiltra le PCUS.  Pour y parvenir et compte tenu de la nature ultra-communautaire du parti communiste américain, le FBI dut recourir à deux taupes d’origine juive, les frères Jack et Morris Childs. Grâce à sa position au Comité National du PC, Morris Childs délivra durant trente ans toutes les informations sur le fonctionnement des finances occultes du PC.
Martin Luther King, corrompu et amateur de prostituées blanches, accepta de nommer à de nombreux postes de son organisation des éléments du PC américain, moyennant finances. Il pouvait compter notamment sur le soutien de militants fanatisés comme le couple juif Braden du Kentucky. Ce dernier s’illustra à plusieurs reprises en tentant de créer des violences raciales, notamment en faisant venir, dans un quartier blanc, des Noirs dont ils payaient le loyer, puis plus tard en menant une campagne d’attentat à la bombe.
Les liens de King avec les communistes américains remontent au moins à 1957, comme en témoigne une photographie de lui participant à un cours d’agitation politique organisé par le PC à la Highlander Folk School dans le Tennessee. Cette école fut fondée par le milliardaire juif Julius Rosenwald – membre fondateur de la NAACP – puis ensuite par sa fille Edith Stern dont le mari s’enfuit plus tard en URSS alors qu’il était recherché pour espionnage. Sur la photo figure également aux côtés de King Abner Berry, militant communiste juif écrivant pour le journal du parti, le “Daily Worker”, également membre du Comité Central du PCUS.
Bref, Luther King n’était qu’un idiot utile aux mains de l’URSS qui, soucieuse de créer l’anarchie raciale aux USA, put s’appuyer sur des réseaux sionistes toujours prompt à affaiblir le pouvoir qui les tolèrent.
Alors fêter Luther King ? Autant être masochiste !

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