mercredi 19 août 2015

L'ANP engagée à supprimer le terrorisme

 Notre armée est actuellement sur tout les front et toutes les frontières du territoire pour assainir la situation, exterminer la racaille terroriste daechiste à l'Est , empêcher l'invasion subsaharienne au sud, et calmer le royaume dit "chérifien" à l'Ouest, autrement dit contrecarrer tous les plans que la juiverie internationale à réservé à l'Algérie. Gloire à l'ANP!


Plus que jamais l’armée nationale populaire (ANP) est décidée à poursuivre son noble combat contre les hordes terroristes. Cet engagement devant le peuple vient d’être réitéré dans un éditorial détonnant de la revue El-Djeich dont on a reçu une copie.
Rappelant que la conjoncture nationale, régionale et internationale rend la menace terroriste plus présente, l’armée rassure qu’elle ne baissera pas les bras pour autant et qu’elle poursuivra sans relâche le combat jusqu’ à l’éradication du phénomène. La conjoncture qui a prévalu ces dernières années a contribué au redéploiement du phénomène tant à l’échelle régionale qu’internationale, favorisant la circulation de différents types d’armements dans nombre des régions de la planète et, plus particulièrement à nos frontières», lit-on.
Ces nouveaux défis imposent selon l’armée un «redéploiement aux frontières afin d’en assurer la sécurité, et de protéger de faire échec à toute tentative d’infiltration ayant un lien avec le terrorisme, le crime organisé, le commerce illicite des armes et autres produits». Une menace certes multiforme mais à laquelle l’ANP devra faire face avec courage et résolution bien que l’ennemi s’est doté de moyens de guerre.

Courage et volonté
L’éditorial d’El-Djeich souligne à cet égard «L’ANP mène une guerre asymétrique au terrorisme tant sur les plan des moyens que des méthodes, ce qui impose davantage de prudence et de mobilisation et d’observer les règles édictés dans ce domaine». Revenant sur le crime abject commis à Ain Defla contre une patrouille de l’armée, l’ANP assure et rassure que cela n’a eu aucun impact sur le moral des troupes.
«A ce propos, il est nécessaire de rappeler que le crime perpétré dernièrement à Ain Defla Par les groupes criminels ne saurait jeter le voile sur les défaites et les coups reçus par les groupes terroristes sachant que durant le dernier trimestre, plus de 100 terroristes ont été éliminés», lit-on en effet. Ce carnage n’entamera non plus «la détermination de l’ANP ni sa volonté de poursuivre le combat et de pourchasser les terroristes où qu’ils soient … » lit-on plus loin.
Précisément El-Djeich se félicite de «l’élan de solidarité du peuple algérien et ses sentiments de sympathie à l’égard de ses enfants dans l’armée nationale populaire à l’issue de cet acte criminel».

L’armée tacle la presse
A ceux qui pensent qu’il y a eu «baisse de vigilance» ou il y a «manque de moyens» après le massacre de Ain Defla, l’armée laisse entendre que le risque zéro n’existe pas. Mais elle promet qu’elle n’a d’autre choix que «de faire face à ces menaces tant sur le plan interne qu’externe avec la contribution de toutes les forces vives du pays afin de renforcer le front interne et de consolider la cohésion nationale pour préserver le pays, le débarrasser des criminels et assurer la sécurité et la stabilité».
Au besoin, l’ANP invite les algériens où qu’ils soient à faire preuve de vigilance pour déjouer les plans diabolique des terroristes. Parce que, lit-on, «les blessures d’un passé récent ne sont pas encore refermées». A commencer par la presse qui doit «vérifier ses informations» et «rechercher la vérité à la source pour éviter l’exagération et la surenchère». L’état-major de l’armée en veut pour preuve la narration inexacte des faits et les commentaires exagérés qui avaient accompagné les deux opérations ayant eu lieu à Batna et Bouira.
Pour cette dernière, il s’agissait selon El Djeich, d’« un acte isolé n’ayant aucun lien avec le terrorisme et qu’une certaine presse a traité en étant aux antipodes de la vérité». Pour celle de Batna, c’est une opération «banale» transformée «en une attaque terroriste d’envergure couronnée par l’occupation de positions proches de l’environnement de la caserne». La presse doit donc, recommande l’armée, faire preuve de rigueur de son travail pour éviter des commentaires alarmistes.

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