Ce cher Sansalaud est toujours le premier de la classe, le meilleur ex-aequo avec Kamel M'Daoud, dans le domaine de la pleurnicherie judaïque, négrophile, et autres tolérances stéréotypées. Les agents de BHL, les sayanimes locaux s'exitent. Prudence, ça va chauffer. Nous devons à tout prix tenir à notre souveraineté nationale! Pour les ennemis de l'Algérie: La valise ou le cerceuil!
Par Kamel M. – Boualem Sansal a affirmé, hier sur un plateau de la chaîne de télévision franco-allemande Arte, que le «comportement du gouvernement algérien doit être condamné unanimement». L’écrivain répondait à une question sur les migrants subsahariens «accusés de propager des maladies et la sorcellerie», la journaliste estimant qu’une telle attitude jetait ces étrangers en situation irrégulière «dans les bras des islamistes».
Boualem Sansal a chargé le gouvernement dont «la méthode est absolument terrifiante», a-t-il dit. «On les ramasse, on les rafle», a fait remarquer l’auteur du roman Le Train d’Erlingen ou la métamorphose de Dieu. En utilisant le mot «rafle»(*), l’écrivain fait insidieusement un parallèle entre la reconduction des migrants par les autorités algériennes et l’extermination des juifs durant la Seconde Guerre mondiale. Le titre de son dernier ouvrage renvoyant «à l’Allemagne (nazie, ndlr) à travers le nom Erlingen et à la Shoah par le train», déclarait-il dans une récente interview.
Boualem Sansal décrit une situation apocalyptique des Subsahariens en Algérie : «A chaque fois qu’ils voient un Black, ils se jettent dessus et ils l’envoient dans des camps on ne sait trop où, puis ils remplissent les camions et envoient directement vers le Sud des femmes et des enfants dans des conditions abominables», a-t-il allégué, comme actionné par ses mentors en France pour tenir de tels propos mensongers.
L’écrivain, qui a suscité une vague de colère en Algérie après s’être rendu en Israël, va plus loin et appelle les capitales occidentales à suivre l’exemple de Trump en imposant des sanctions à l’Algérie. «Ce n’est pas suffisant de dénoncer, il faut couper les vivres à ce gouvernement algérien, il faut des actions fortes !» a-t-il insisté, en affirmant qu’en forçant la main et en prenant des sanctions, «tout le monde marche».
K. M.
Source: Algérie Patriotique
je vous conseille de regarder la vidéo, cet écrivain parle des migrants comme s'ils étaient la propriété de l'Algérie et qu'elle doit s'en occuper. Il pense aussi que le peuple les accepte et qu'ils sont intégrés dans la société et qu'ils font le travail que les algérien ne veulent pas faire.... Il récite la leçon connue des traites qui veulent nous imposer l'immigration subsaharienne inutile pour l'Algérie et réfutée par les algériens.
RépondreSupprimerJustement je viens de faire la route Alger - Tizi à ma grande surprise (et grande satisfaction aussi ) pas un seul mendiants khels sur les bords de route. Idem pour le centre ville de Tizi (contrairement à l'an dernier, ou toute les entrées de la ville été envahit par ses cafards ) qui a même l'air plus propre.
RépondreSupprimerJ'ignore qui il faut remercier pour cette purge, mais en tout cas ils faudraient graver leurs noms dans le marbre.
En espérant que sa dure Nchlh.
Quand à ce pseudo écrivain, même aux cabinets personne ne lit ses torchons...je n'avais jamais entendu parler de ce type avant aujourd'hui.