Redéfinir les buts du nationalisme radical

Depuis la fin des dix années de terrorisme et de chaos organisé par une alliance occulte de fanatiques islamistes et de maffia financialiste , la jeunesse algérienne n'a cessé de perdre ses repères, qu'ils soient sociaux, culturels ou même religieux.

Au lieu de se retrouver face à un seul gros problème sociétal , nous nous sommes retrouvés à la croisée de chemins catastrophiques, et plus particulièrement sous les feux croisés du salafisme et du libéralisme libertaire.

Pour l'ensemble de la population, le nationalisme se résume malheureusement qu'à la mémoire de nos glorieux combattants passés et des questions de souveraineté, or de ce fait, tout un ensemble de questions, notamment les questions économiques, sociales et culturelles restent gentiment occultés, car nombre de nos politiciens nationaux préfèrent mettre un "voile pudique" sur ces questions épineuses.

On-ils peut-être oublié que l'Algérie est un corps qui vit, et non une machine, que l'Algérie ne se résume pas aux industries lourdes, au gaz et au pétrole.

La nationalisme algérien , idéal né avec l'Emir Abdelkader El Djazaïri et qui a continué son ascendance avec les martyrs de la révolution algérienne de 54, a eu des périodes de flottement que l'on se doit de reconnaitre, ainsi que des choix qui n'ont pas toujours été les meilleurs, nous pouvons citer à titre d'exemple la dérive du socialisme qui , au lieu d'être un socialisme national encouragent le corporatisme et la créativité, à lamentablement échoué car versant dans un marxisme arabisé doublé d'un populisme aveugle;ou nous pouvons aussi parler de la politique pan-africaine qui se targuait d'une solidarité avec les peuples d'Afrique niant de ce fait toutes les réalités inhérentes aux questions raciales , chose que les autres pays africains n'ont eux pas oublié. Je me souvient encore bien d'un article paru en 2003 ou 2004 après un sommet africain qu'il y a eu a Alger, où il était notamment question de l'identité africaine, une identité jugée à l'unanimité, noire. Sans commentaires.

Nous sommes las d'être les "dindons de la farce" permettez moi l'expression, toujours a s’empêtrer dans des compromission avec les forces étrangères, tout ça au nom d'une hypothétique solidarité africaine ou arabe ou autre! Nous ne devons être solidaire que des algériens, de notre peuple! Et surtout avoir le droit de choisir avec qui nous devons et voulons travailler , ce qui signifie pas forcément avec des pays avec lesquels nous avons forcement une affinité socio-culturelle.

En ses temps ou les pays du monde entier durcissent le ton et aiguisent leur armes politiques et militaires. Nous, algériens, nous nous occupons que du coté militaire et, relativement (très relativement) du coté économique. Mais voilà, des questions se posent: Sur quelle base allons nous former nos élites? Comment ferons nous pour faire barrages aux déviances modernistes et occidentales qui s'emparent de notre jeunesse?, quand ça n'est pas bien-sur la dérive wahabbo-salafiste ou le désœuvrement dans la drogue et l'alcool?

La réponse , car il n'y en a en réalité qu'une seule, c'est la réorientation du nationalisme algérien sur ces questions qui n'étaient pas encore d'actualité, ni en 1954, ni en 1962, ni en 1988, mais qui aujourd'hui sont là, comme un fait établi.


BRISER LES VRAIS TABOUS!

La grande partie de notre jeunesse est aujourd'hui soit perfusée à l'internet , soit à la parabole, surtout ne pas leur parler d'histoire ou de spiritualité, surtout ne pas leur inculquer les valeurs ancestrales et l'Héritage avec un grand H. Par contre, les encourager à poser comme des trisomiques sur Facebook, à regarder des séries débiles sorties de cerveaux hébraïques, ventant l'homosexualité et le métissage et la sacro-sainte tolérance...ça oui! à fond la caisse!

Voilà le genre de tabous que nous nous devons de briser! Reprendre en main la jeunesse, l'inciter à visiter nos musées, inciter les jeunes chômeurs et même certains étudiants brillants à rejoindre les rangs de notre armée, à écrire, a créer une véritable culture algérienne enracinée, que ce soit dans la littérature, la musique ou le cinéma! Créer! Et ne pas perdre espoir!

Nous devons aussi reconnaitre nos ennemis intérieurs, ici et parmi nous, cette nouvelle génération de zonards, s'habillant comme des femmes, avec des coupes de cheveux de pédérastes (des clones du pédéraste judéo-beur Steevy Boulay), nos ennemis sont aussi ces révolutionnaires démocratiques que l'on retrouve le plus souvent sur Facebook et twitter , qui rêvent d'une Algérie alignée sur les positions mondialistes et droidl'hommistes , une Algérie "plus humaine" disent ils , en réalité soumise au diktat sioniste international; mais aussi, bien sûr, les salafistes, les partisans du bâtard (au sens propre comme figuré) Ali Belhadj, et tout ceux qui veulent voir la femme comme un sous-citoyen , tout comme il faut voir en ennemi toutes les raclures féministes soutenues par l'Occident. Je sais bien, ça fait beaucoup de monde, Mussolini disait, très justement, "Beaucoup d'ennemis, beaucoup d'honneur" (Molti nemici, molto onore) .

REVOIR LA GUERRE CONTRE LE SIONISME

Là aussi, l'Algérie n'a pas su bien y faire, oui, l'Algérie reste l'un des derniers états officiellement antisionistes, mais voilà, un antisionisme vieillot, dont les bases ont été jetées dans les années 60 puis 70 par nos anciens, mais qui depuis sont restés figées, nous en sommes encore à "Israël, pays néo-colonialiste, bras armé de l'occident" etc...etc...
Alors qu'aujourd'hui, l'entité sioniste est l'un des centres névralgiques les plus puissants du système mondialiste, et même du monde! Ça n'est plus de simples shlomos qui dirigent le monde , mais des sionistes , qui ne sont pas d'ailleurs toujours juifs!
Le sionisme ne se limite pas au conflit "isrealo-palestinien" , ni "arabo-israelien" ni encore même "islamo-isrealien" mais c'est un conflit opposant TOUTES les forces nationalistes et identitaires du monde entier contre le sionisme international , c'est pour cette raison, entre-autres, que nous devons revoir notre politique antisioniste, en même temps que nos alliances dans le monde.

POUR UNE COLLABORATION MONDIALE DES FORCES SAINES

Et donc, face au rouleau compresseur du mondialisme cosmopolite , qui veux métisser, abrutir et homosexualiser tous les peuples (pour rester poli), il est temps pour nous, nationalistes algériens, de commencer à envisager de nouveaux "partenariats", qui iront de la simple entente à l'alliance , avec des entités radicales d'autres pays du monde, nous devons nous structurer , multiplier les contacts, faire entendre notre voix , que le monde sache que l'Algérie ça n'est pas l'Afrique du nord idéalisée par des néocolonialistes crapuleux ne voyant que cannabis , dépravation et terrorisme, c'est une Algérie qui travaille, qui créée et qui se bat pour son identité!
Tahiyal Djazaïr! Vive notre peuple et mort à nos ennemis!

                                                                                   
الله        الوطن       الشعب