dimanche 6 avril 2014

Ghardaïa, Bejaïa: qui travaille dans les coulisses du Mal ?


Ces derniers jours ont été assez difficiles dans les villes de Ghardaïa et de Bejaïa , malgré l'accalmie actuelle, ces deux villes ont subies des dégâts non négligeables, destructions de biens, violences et incendies.

Tout cela est de toute évidence lié à cette rude période électorale , élections auxquelles finalement peu de monde porte vraiment interêt, car le peuple est fatigué et tellement déçu par ces clowns politiciens pseudo patriotes quelque soit leur clan.
Tant qu'aucun parti structuré et idéologiquement sain et blindé comme l'acier n'aura pas vu le jour, nous aurons toujours sur le dos cette même bande de saltimbanques, de semeur de haines et de mensonges, c'est ainsi.

Nous avons été extraordinairement déçus, en crescendo, par les propos et propositions du candidat Benflis (positions sur le FIS et sur les harkas) , tout autant que par l'attitude du clan Bouteflika (en particulier Abdelmalek Sellal) déçus par les prises de positions d'anciens militaires, "mystérieusement"sortis de l'ombre.

Il est par ailleurs tragique de voir qu'aucun des camps en présence dans cette sombre affaire électorale n'est propre, même pas un peu.

Mais au delà de ces camps et de leur divisions, il y a , dans les coulisses, des ennemis encore bien plus serieux en Algérie, des ennemis dont les ramifications nous guident tout droit vers les forces obscures et souterraines qui opèrent a Tel-Aviv, Londres, Paris, Washington et Moscou.

Que ça soit le mouvement Barakat (les femen Algériens), Sofiane Djilali et ses partisans, les Salafistes de Ghardaïa et les séparatistes du M.A.K présents à Béjaïa et dans le M'zab, toutes ses forces, parfois opposées, sont des parasites crées de toues pièces dans des laboratoires en dehors de chez nous.

Bouteflika à fait de très grandes erreurs en recevant d'infâmes judaïsants comme Kerry ou encore le nouvel Émir du Qatar, mais est il toujours le commandant à la barre? C'est ce que, très légitimement, une partie du peuple se pose comme question. Depuis cette campagne, il n'a été en mesure de faire aucun discours télévisé officiel, ses déclarations télédiffusés donnent la nette impression d'avoir une personne affaiblie et qui n'est pas en mesure de diriger, et cela est dit sans aucune intention malveillante envers notre président.

Nous n'avons pas besoin de président en Algérie, nous avons besoin d'un chef, d'un guide, d'un véritable homme providentiel amenant des idées forgées dans de l'acier (au risque de me répéter), un homme salutaire qui servira d'exemple a un nouveau type d'algériens, doté d'une lointaine espérance, mais d'une espérance certaine! Celle de voir notre nation se relever et dotée d'une jeunesse porteuse d'un idéal, d'une Algérie souveraine et travailleuse, ou la Tradition et , non la modernité, mais le futurisme,  ne fassent qu'un.  Une Algérie sous le règne divin , avec un peuple guéri des perspectives foireuses de l'intégrisme et de la démocratie, de la minable voyoucratie jusqu'au grand-banditisme.

Ces récentes provocations et déstabilisations sont présentes, non pas pour empêcher tel ou tel candidat de gagner, mais , en premier lieu, pour disloquer, voire atomiser notre identité religieuse, charnelle et nationale. Et c'est justement pour celà que nous devons nous battre.

Vive l'Algérie une et indivisible, vive le Peuple et l'Armée! Allahou Akbar!  







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