mardi 9 septembre 2014

Deux jeunes d'origine algérienne agréssés par des juifs à Paris, et alors?


Selon plusieurs journaux algériens en ligne, et repris par la presse "dissidente" (ahah!), deux jeunes "beurs" d'origine algérienne auraient été agressés dans la capitale française.

La question est: Pourquoi en parler? Qui à commencé? Et surtout, à quoi servirait de diffuser de telles informations?

Premièrement, les médiats en France sont dirigés par le lobby juif , ce qui est devenu un véritable lieu commun de le dire, tant ça n'a jamais été aussi vrai; donc, forcément, si l'affaire fait du bruit, on trouvera toujours le moyen de dire que ces deux jeunes sont d'horribles racailles antisémites sauvages etc. , comme d'habitude en somme.

Deuxièmement, je ne vois pas pourquoi nous devrions prendre la défense de ces deux victimes "d'origine algérienne", parce que nous sommes algériens? Et parce que les agresseurs sont juifs? Il se trouve que beaucoup de jeunes d'origine algérienne n'ont d’algérien que le nom et l'aspect général, et que beaucoup d’entre eux (pas tous heureusement) ont subi le lavage de cerveau judaïque de l'école républicaine maçonnique française et sont donc de facto des ennemis de l’Algérie réelle et de l'identité algérienne. Donc en quelque sorte c'est "juif contre enjuivé", donc inintéressant.

Troisièmement, Je ne vois pas pourquoi les médias algériens (amis pour certains) en parlent, ça concerne la France, pays rongé par une immigration totalement sous contrôle juif, y compris quand ces derniers se réclament "anti-systeme" etc. (voire l'exemple de Dieudonné et des nombreuses incohérences, bien que nous ne mettions pas sa bonne volonté en doute)

Les juifs de France sont aujourd'hui des français plus français que les autres français selon leur république, c'est l'avant-garde et l'élite de la république, ce qui est un fait avéré. Donc un algérien, même innocent, sera toujours coupable aux yeux des autres français. Et ça n'est pas la grosse vache nommée Marine Lebben qui va dire le contraire.


KM

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