jeudi 28 novembre 2013

Libye : un mausolée détruit par des inconnus dans la banlieue de Tripoli

Des inconnus ont fait exploser mercredi un mausolée dans la banlieue est de Tripoli, un acte vivement condamné par le Premier ministre libyen Ali Zeidane.
Le mausolée de Mourad Agha, situé à côté d’une mosquée du même nom dans un complexe construit en l’honneur d’un notable ottoman, a été détruit par des explosifs placés dans le sanctuaire par des inconnus, selon des correspondants de presse. “L’explosion a eu lieu à 4 heures du matin” ont indiqué des témoins, cités par l’AFP.
Construit par Mourad Agha, premier gouverneur ottoman à Tripoli (1551-1553) ce mausolée, qui abrite sa sépulture, compte parmi les plus anciens de capitale et se caractérise par son architecture islamique sophistiquée.
Soulignant le caractère historique de ce sanctuaire pour le patrimoine culturel de la Libye, le Premier ministre libyen Ali Zeidane a condamné cet acte, promettant de retrouver ses auteurs et de les traduire devant la justice.
“L’arriération, la barbarie et le terrorisme poussent jour après jour des gens à détruire la mémoire et l’histoire de la patrie”, a déploré M Zeidane lors d’un point de presse mercredi à Tripoli.
En mars à Tajoura, le mausolée de Sidi Mohamed Landoulsi, un théologien soufi du XVème siècle, avait été soufflé par une explosion. (Aps)

Et si ce printemps arabe était également (et surtout!) une guerre occulte contre le coeur ésotérique de l'Islam? Nous pouvons remarquer en Libye comme en Syrie ou au Mali, et partout où il existe cette crasse judéo-salafiste et judeo-safavide bouillante et hideuse, une volonté de destruction de mausolées et lieux sacrés islamiques.

Les démons et leurs serviteurs sont entrés dans une nouvelle phase de la guerre en détruisant certains lieux bien particuliers. L'Algérie reste l'un des derniers bastions, et nous comptons bien le défendre, quitte à envoyer des centaines de milliers de salafistes pourris dans les fausses communes! L'Algérie sera le cimetière de ces maux .

                                                                                                                                  K. M

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