Bonne idée de nous faire connaitre cette version que je ne connaissais pas de l’inoubliable Meskoud. La boulangerie "La Parisenne " a disparu, les haiks blancs ont laissé place à d'atroces corbeaux noirs ambulants. On reconnait les principales places et rues d'Alger. Images nostalgiques d'un Alger du siècle dernier disparu au temps de l'innocence, avant les années de sang, avant la perte du paradis perdu.
Bonne idée de nous faire connaitre cette version que je ne connaissais pas de l’inoubliable Meskoud. La boulangerie "La Parisenne " a disparu, les haiks blancs ont laissé place à d'atroces corbeaux noirs ambulants. On reconnait les principales places et rues d'Alger. Images nostalgiques d'un Alger du siècle dernier disparu au temps de l'innocence, avant les années de sang, avant la perte du paradis perdu.
RépondreSupprimerOui, un Alger que j'ai vu se transformer, sa population changer, vagues par vagues, de plus en plus sales et incultes... (enfin, c'est la vérité...).
RépondreSupprimerLa chanson de Messkoud est belle mais tellement triste. L'Alger de mon enfance me manque tel un être cher disparu.